samedi 18 octobre 2014

Une petite affaire bien tranquille

Imaginez un peu à quoi peuvent penser les banquiers, pas les pauvres gens qui broient toute la journée des vies s'en même s'en rendre compte, non eux ils rêvent, ils se bercent d'illusions pour tenir le coup, se glissent discrètement dans la routine pour ne plus rien penser ou ressentir, question de survie en quelque sorte.
Je veux parler de ces personnes qui changent en quelque secondes les règles du jeu et la vie de millions et même de milliards de gens juste en modifiant un accord, une petite convention de rien du tout, de ces étrangers dans tous les pays qui ne reconnaissent comme unique continent que la finance internationale.
Ils discutent pendant des congrès de banques centrales privées, si si ça existe, ils vivent de par le monde dans les grands hôtels et possèdent chacun, leur petite île privée, qui il faut le dire est assez bien équipée, habitation tout confort, désssalinisation de l'eau, cultures bio, énergies libre et bien entendu de quoi défendre tout ceci, c'est très mignon, vraiment superbe.
Alors de quoi parlent-ils nos banksters ? Et bien voyez-vous  ils sont en négociation sur la date de liquidation et les modalités de rachat de certaines petites choses qui restent encore à commercer, des miettes industrielles par ci par là des détails quoi puisque après, et bien après ils s'en foutent, après ils ne seront plus là.

Il ne restera que nous, aucune chance a partir de cet instant de lutter verticalement, les instigateurs seront déjà loin, nous seront une fois de plus dans une situation de lutte horizontale, chacun ira voir ça avec son voisin, il y'a cette expression pour qualifier les pauvres, "les pauvres sont essentiels, corvéables à plaisir, taxable sans limite et lorsqu'ils posent trop de problèmes, on peut toujours en payer une moitié pour éliminer l'autre"

vendredi 10 octobre 2014

La haine !!!

La haine.
Avoir la haine...
Existe-t-elle seulement cette haine, la haine est-elle un sentiment ?
Je ne pense pas, en fait je suis certain que la haine n'existe pas !
Comment en suis-je arrivé à cette conclusion ?
Laissez moi vous montrer...une évidence.
La seule source qui coule naturellement dans tous les êtes sensibles, c'est l'amour et rien d'autre, un océan d'amour.
Pour vous en convaincre je vous donnerais quelques exemples, les voici...
Vous vous rendez dans un magasin pour changer de téléviseur, devant vous sont exposés des dizaines de modèles, vous disposez d'un budget de 500€.
Comment allez vous donc choisir cet appareil ?
Une fois la question du budget tranchée, vous allez vous retrouver devant une bonne dixaine de modèles, un fois éliminée la question de la taille et des performances, il reste encore plusieurs modèles possibles, alors comment allez vous trancher cette question, que vous reste-t-il ? Vos préférences esthétiques, celui-ci est plus joli que celui-là, vous préférez donc celui-ci, vous l'appréciez, vous l'aimez plus, c'est donc bien l'amour qui est le dernier juge, et surtout le premier. Mais manque de chance, le modèle en question n'est pas disponible, cette contrariété est l'équivalent d'un verre d'eau perdu dans l'océan de votre amour, et ce n'est pas bien grave, mais si c'est vos enfants que vous perdez, la c'est l'océan en entier qui disparait et il ne vous reste qu'un verre de cette eau, c'est l'horreur...
L'horreur qui en fait correspond à un violent déséquilibre dans le plus important des amours, le votre, votre amour propre et pour rétablir cet équilibre vous serez prêt à tout et les autres dirons que vous avez la haine, qui pourtant n'existe pas en tant que telle, notre esprit ne pouvant créer ce sentiment, puisqu'il n'en n'est pas un.
Que ce soit un père affolé, ou un fondamentaliste fanatique, les mêmes causes produiront toujours les mêmes effets, parmi toutes les causes possibles, c'est bien l'ignorance la plus dangereuse, l'ignorance de ne pas savoir de quoi nous sommes fait, tout en étant certain de le savoir.
Le lion ne hait pas la gazelle, le chien ne hait pas le chat, ils s'aiment plus eux même, c'est tout, le lion voudrait manger et le chien est gêné par le chat qui interfère dans son amour propre en remettant en cause ses capacités à garder son territoire.
Penser que la haine existe, c'est laisser le champ libre à l'ignorance, berceau de toutes les souffrances.
Partir faire la guerre, ce n'est pas avoir la haine contre l'ennemi, c'est vouloir restaurer son amour propre.
Rééquilibrer ses émotions sans les comprendrent est aussi utile que de vouloir construire un bateau en l'absence d'eau.
Pour en finir je vous propose ceci, cherchez en vous de la haine, analysez la et vous découvrirez rapidement que ce que je vous dit est la vérité et cela changera tout en vous, changera tout autour de vous, changera même les autres.
Il n'existe qu'une seule émotion, l'amour.

mardi 7 octobre 2014

Comment est-ce possible ?

Comment est-il possible, que cette nouvelle vague présidentielle, du règne de "François Dernier de Hollande", puisque que c'est de ce sobriquet qu'il m'a été donné de l'entendre nommé par un quidam aviné et joyeux, comment est-ce possible donc, que ce gouvernement qui se dit détenteur de la loi, et devrait à ce titre avoir pour base le plus élémentaire des bon-sens, rien de bon ne sorte ?

Comment est-il possible que ce club des privilégiés, servis abondamment, n'entendent pas les sirènes, qui sonnent depuis un certain temps déjà ?

Comment est-il possible, que les libertés reculent pour nous permettre on ne sait qu'elle sécurité ?
Sans liberté, est-il besoin de sécurité, d'où viendrait le danger du fond d'un cachot, si ce n'est du geôlier lui même, du gardien, du garant, de celui qui établi la loi pour tous et fait sa loi pour lui.

La seule sécurité, c'est connaitre l'autre comme l'on se connait soi même, pas dans l'intimité, mais dans le raisonnement et le raisonnement est le produit des conditions qui participent à leur tour à produire les personnalités.

Les conditions de nos bienveillant digérant, il n'y a pas de faute; leurs conditions donc à ces enzymes n'ont strictement rien en commun avec celles des simples citoyens, combien parmi eux ont parcouru le monde en classe surclassée, disposent de petits pieds à terre hors de France ?

La réalité est bien triste, la corruption a pris le dessus sur leur intégrité qui n'existait que dans un faible contingent, c'est une évidence mathématique, la situation défie toutes les statistiques, aucun gouvernement n'avait produit un tel mécontentement par sa brutalité et son arbitraire, sa précipitation et son amateurisme. Le programme normal de ce président normal est fidèle à sa définition, c'est un programme il commence et fini, n'aurait-il pas été plus judicieux de rechercher un président juste et un projet juste ?
Trahie et trompés, le président est en fait un pharaon et il décrète "que ceci soit écrit et s'accomplisse"

Mais la réponse est simple et se résumé ainsi, les Français sont des emmerdeurs, ils refusent les changements car ils ne comprennent pas les besoin de réformes que souhaitent les banquiers internationaux, pour les sauver grâce à la monnaie qu'ils ont l'obligeance de bien vouloir leur vendre.

C'est leur philosophie, leur pierre philosophale, qui change l'électeur en lingot d'or, abracadabrantèsque comme dirait le vieux Chirac, Valéry lui est toujours là, il contemple sont oeuvre s'imaginant architecte, le petit reste en embuscade même si Nico-n'est-rien, ce qu'il est à la fin et guette l'instant du plus plat de tous, mais du plus allergène, puisqu'il doit gratter encore trois ans, autant dire la fin des temps, les cotes elles sont biens gardées, la Marine sans charge est aux commandes et s'en charge. Chacun joue avec vigueur sa petite partition sous la baguette des banquiers, n'oubliant aucune notes de la symphonie caca phonique de l'humiliation qu'il nous infligent.

Leur nouveau temple de l'égalité était un piège et les routes qui mêlent en enfer sont pavés des bonnes intentions de ceux qui croient, les rectifications nécessaires à cette pseudo élites, les petits ajustements que nous vivons ne sont pas une fin, c'est le commencement de quelque chose de nouveau, de différent, la conservations des valeurs passe par leur partage, toute la question est là.

Donc, est-il possible qu'ils n'aient pas prévu toute cette incroyable et pourtant tout à fait réelle séquence ?
Est-il possible que tout ceci soit le fruit d'un terrible coup du sort ?

Si il y'a bien une chose que j'ai appris, c'est qu'en matière de politique, tout comme au cinéma et au théâtre, rien n'est jamais laisser au hasard !

La question demeure inchangée, ne voient'ils rien venir ou ont-ils tout planifiés ?