samedi 18 octobre 2014

Une petite affaire bien tranquille

Imaginez un peu à quoi peuvent penser les banquiers, pas les pauvres gens qui broient toute la journée des vies s'en même s'en rendre compte, non eux ils rêvent, ils se bercent d'illusions pour tenir le coup, se glissent discrètement dans la routine pour ne plus rien penser ou ressentir, question de survie en quelque sorte.
Je veux parler de ces personnes qui changent en quelque secondes les règles du jeu et la vie de millions et même de milliards de gens juste en modifiant un accord, une petite convention de rien du tout, de ces étrangers dans tous les pays qui ne reconnaissent comme unique continent que la finance internationale.
Ils discutent pendant des congrès de banques centrales privées, si si ça existe, ils vivent de par le monde dans les grands hôtels et possèdent chacun, leur petite île privée, qui il faut le dire est assez bien équipée, habitation tout confort, désssalinisation de l'eau, cultures bio, énergies libre et bien entendu de quoi défendre tout ceci, c'est très mignon, vraiment superbe.
Alors de quoi parlent-ils nos banksters ? Et bien voyez-vous  ils sont en négociation sur la date de liquidation et les modalités de rachat de certaines petites choses qui restent encore à commercer, des miettes industrielles par ci par là des détails quoi puisque après, et bien après ils s'en foutent, après ils ne seront plus là.

Il ne restera que nous, aucune chance a partir de cet instant de lutter verticalement, les instigateurs seront déjà loin, nous seront une fois de plus dans une situation de lutte horizontale, chacun ira voir ça avec son voisin, il y'a cette expression pour qualifier les pauvres, "les pauvres sont essentiels, corvéables à plaisir, taxable sans limite et lorsqu'ils posent trop de problèmes, on peut toujours en payer une moitié pour éliminer l'autre"

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